J'aime cet acteur depuis "Only You" (1994), film de Norman Jewison avec la belle Marisa Tomei. Et surtout depuis "One Night Stand" (1997) de Mike Figgis avec Wesley Snipes et Nastassja Kinski... J'ai découvert qu'il était chanteur dans Ally McBeal et depuis je traque ses moindres apparitions... Ci-dessus une des pochettes de son dernier album, The Futurist, sorti en 2004.
dimanche, janvier 30, 2005
J'aime cet acteur depuis "Only You" (1994), film de Norman Jewison avec la belle Marisa Tomei. Et surtout depuis "One Night Stand" (1997) de Mike Figgis avec Wesley Snipes et Nastassja Kinski... J'ai découvert qu'il était chanteur dans Ally McBeal et depuis je traque ses moindres apparitions... Ci-dessus une des pochettes de son dernier album, The Futurist, sorti en 2004.
vendredi, janvier 28, 2005
Une "journée nationale du dépistage" du virus du sida (VIH) est organisée ce vendredi par un collectif d'associations contre le sida qui jugent "inquiétant" le nombre de séropositifs ne sachant pas qu'ils sont contaminés.
Selon l'AFP, fin mars 2004, la France comptait 25.000 à 27.000 malades du sida, alors que le nombre total de séropositifs se situe entre 100.000 et 150.000.
mercredi, janvier 26, 2005
Ca y est, il neige !!! Bientôt de bien belles photos, c'est promis...
lundi, janvier 24, 2005
vendredi, janvier 21, 2005
Jean Reno in Da Vinci Code
Je dois être la seule personne sur terre à n'avoir pas encore lu ce best-seller !!! Allez, je vais m'y mettre, histoire de me faire une idée avant la sortie du film...
jeudi, janvier 20, 2005
La douleur physique est-elle plus atroce que la douleur psychologique? Je n'ai pas de réponse, mais sur une échelle de 1 à 10, je mettrais 8 à la douleur physique qui s'est manifestée dans mes cervicales ce matin à mon réveil... Je n'ai pu retenir mes larmes tant la douleur était cinglante, frappante, harassante, traumatisante. C'est pas la première fois, et j'ai beau passer entre les mains (expertes) de 3 Masseurs Kinésithérapeutes Ostéopathes, rien n'y fait... Et maintenant, j'ai peur d'avoir mal tous les matins... Ah douleur, quand tu nous tiens... "Blog toujours, tu m'intéresses", semble-t-elle répondre...
mercredi, janvier 19, 2005
3 films à l'affiche
Vous avez reconnu ce bel éphèbe ? Il s'appelle Jude Law et il est à l'affiche de "Closer, Entre Adultes Consentants", l'un des 3 films à voir absolument cette semaine, avec Julia Roberts et Natalie Portman. N'oubliez pas aussi "Mon Ange", le dernier film avec Vanessa Paradis, et "Nèg Maron" avec Stomy Bugsy et Jocelyne Béroard (produit par Mathieu Kassovitz).
Pour ceux qui ne l'auraient pas encore remarqué, j'aime par dessus tout les photos en noir et blanc: il me semble que l'émotion est plus sincère, le regard plus vrai, la lumière plus spirituelle. Cela me parle davantage.
mardi, janvier 18, 2005
Fête de l'A380 à Toulouse
Géant des airs. 73m de long, 79,80 m d'envergure, 24,10 m de hauteur, 20 roues, jusqu'à 656 places passagers... L'airbus A380 sera le plus gros avion commercial en circulation. Les premiers essais en vol auront lieu en mars 2005, et la commercialisation dès 2006. Coût du "joujou" : entre 220 et 240 millions d'euros. Toulouse a de quoi être fière !!!
Heu, je rectifie mon commentaire: le "joujou" n'est même pas accessible aux personnes handicapées ! Même pas d'ascenseur ! Une honte ! Hou hou !
lundi, janvier 17, 2005
Bill Clinton Daily Diary
Je viens d'entendre à la télé que Bill Clinton possède son propre blog: Bill Clinton Daily Diary (en plus, lui aussi utilise blogger.com!). Ca m'a donné envie d'aller y jeter un coup d'oeil (je continue l'exploration de la blogosphère) ! C'est l'occasion d'entretenir mon anglais et de découvrir des trucs vachement intéressants (?), du genre: qu'il habite une petite ville nommée Chappaqua (mais où est-ce donc?) et qu'il se languit de sa femme, souvent en déplacements, qu'il est super pote avec Kevin Spacey et Robin Williams (aussi marrant dans la vraie vie qu'à l'écran et avec qui il délire pas mal si l'on en croit le récit d'une de ses soirées bien arrosées). Bref, des anecdotes pas vraiment fondamentales sur sa vie privée ("Yesterday I had a wonderful day. I did it. I made love. With Hillary"), mais qui le rendent encore plus humain et presque touchant...
dimanche, janvier 16, 2005
Hommage à Falo
Force est de constater que la blogosphère est immense et posséde déjà un language bien à soi. Je n'y ai pas encore tout saisi, loin de là. Ayant abandonné quelques temps l'installation de ma radioblog, je me suis consacrée ce week-end à la mise en place de ce très beau clip (voir plus bas)(il risque de rester là un bon bout de temps, jusqu'à overdose!) Un autre clip apparait sur mon blog martinique... Oui, bon, le choix est assez restreint: 2 qui fonctionnent sur une vingtaine essayés ! :-(
Un blog meurt (bye bye Falo), un autre voit le jour (bonjour noeticum!) C'est la vie !
Termes (et concepts) à creuser pour ma culture bloguesque (un jour):
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samedi, janvier 15, 2005
Mr. PicassoHead
Voilà à quoi on peut s'amuser sur le site MisterPicassoHead
vendredi, janvier 14, 2005
Parce-que je ne ressemble pas à ça, je suis horriblement compléxée par mon corps. Et ce matin, mon kiné, G., arrivé avec un peu d'avance, m'a surpris en sortant de la douche, et donc à moitié nue... Je crois que je vais avoir du mal à le regarder dans les yeux pendant quelques temps: je suis au moins traumatisée pour l'année !!! Je sais, ya plus grave dans le monde, mais bon ça va pas m'aider des masses...
Autre galère webiènne: après mes déboires avec Ebay (voir plus bas), c'est avec Photoways que j'essaie de me débattre pour récupérer les 61,61 Euros d'une commande passée le 8 décembre ! Un mois et demi pour une commande (toujours pas arrivée): ils ont fait fort quand même ! Surtout quand il s'agit d'albums photos que je voulais offrir à noël... Ayant décider d'annuler ma commande et de me faire rembourser, j'ai passé un mois à essayer de les contacter, soit par mél, soit par tél (à 0,15 cent. la minute, ils savent gagner leur beurre sur le dos des clients mécontents). Et quand j'y parviens enfin (ça date de ce midi), ils refusent d'annuler la commande et donc de me rendre mes 61,61 Euros et refusent de me passer un responsable.... Et je me retourne vers qui, moi maintenant? Pour tous les amoureux de la photo: à cause de son service clientèle débordé et méprisant: Photoways est à éviter !
Réctificatif: ils viennent de m'envoyer par mail un avoir de 70 Euros !!! En s'excusant pour la gène causée... Comme quoi, ça sert toujours de râler un peu... Allez, ils sont quand même balaises chez Photoways !!!
jeudi, janvier 13, 2005
Dessin extrait du clip "Pourtant" de Vanessa P.
2 jours d'absence et pour cause: je m'occupe un peu de mon autre blog (sur Vanessa). Je range, je trie, je classe les photos, ça prend du temps tout ça... J'en ai trouvé de sublimes sur son amoureux. Bientôt en ligne.
Bizarre les rêves quand même. Je m'en souviens jamais d'habitude. Là, j'ai rêvé de ***. C'est troublant quand le manque s'y mèle; envie de caresser son visage, lui qui pleurait... C'est tout. Réveil brutal qui fait mal.
mardi, janvier 11, 2005
Il s'agit ici d'une huile sur toile intitulée AGRIGENTE ou SICILE, peinte en 1954 par Nicolas de Staël et acquise en 1982 par le Musée de Grenoble.
J'ai trouvé la 2ième toile (ci-dessous) sur un site d'un bloggeur qui l'authentifiait comme Agrigente, puis j'ai découvert un autre Agrigente, la 1ière toile, sur un site d'un musée, j'ai tendance à croire le musée, mais peut-être les 2 ont-ils raisons ? Si quelqu'un (re)connait le 2nd tableau que je trouve aussi remarquable, sans savoir pourquoi, merci d'éclairer mes sombres lacunes...
Cette toile de Nicolas de Staël est-elle: Agrigente, Sicile, 1954 ?
Si les blogs devaient avoir une quelconque utilité, ça serait celle-là: me faire voyager et découvrir des peintures, des univers que je connais si peu... J'aime ces peintures abstraites de N. De Staël, ces couleurs violentes...
lundi, janvier 10, 2005
La solitude rend moche à l'intérieur, tristement moche ou mochement triste, je ne sais pas.
Toujours ces voeux qui arrivent, et moi qui suis incapable de répondre quoi que ce soit...
Je viens de comprendre pourquoi j'ai eu tant de mal cette année avec les fêtes de Noël et du Nouvel-An: ce sont les fêtes du bonheur obligatoire, ce qui explique pourquoi les gens boivent tant, à ces occasions. Boire pour le plaisir, bien sûr, mais aussi et surtout, chez beaucoup, pour donner l'impression d'être heureux... C'est aussi le moment hypocrite d'envelopper un bref mot préfabriqué pour ceux à qui l'on ne parle jamais pendant l'année. Et c'est l'époque où l'on fait des promesses qu'on ne tiendra pas l'année suivante.
Image extraite du blog de Virginie Despentes, sur lequel je viens de tomber (il est question qu'elle en ouvre un nouveau). J'ai lu d'elle Les Jolies Choses (avant de voir le film avec Marion Cotillard et Patrick Bruel) et j'ai acheté Bye Bye Blondie que je n'ai pas encore lu. J'aime bien son côté cru et dérangeant, j'aime bien sa répartie. Elle me touche.
Donc, la citation du jour:
Au début, on croit mourir à chaque blessure. On met un point d'honneur à souffrir tout son soûl. Et puis on s'habitue à endurer n'importe quoi et à survivre à tout prix. (Virginie Despentes)
samedi, janvier 08, 2005
Jocelyne Béroard, chanteuse du groupe Kassav'
Je viens de recevoir sa carte de voeux à l'instant. Jocelyne ne m'oublie jamais et m'émeut à chaque fois par sa gentillesse et sa sincérité. J'ai connu cette belle personne aux Antilles, elle respire le bonheur et la générosité, tout en faisant un métier qu'elle aime. Elle a appelé un jour Patrick devant moi, lui a laissé un message sur son répondeur et hop, quelques jours plus tard, la rencontre s'est produite ! Elle est comme ça: spontanée et chaleureuse...
Je vous conseille son site http://www.jocelyneberoard.com/ qui lui ressemble bien. On y trouve de magnifiques photos (une autre de ses passions) téléchargeables en fonds d'écrans .
vendredi, janvier 07, 2005
.... Didier van Cauwelaert, Patrick Bruel et Alexandre Jardin ....
Peut-être les 3 auteurs les plus attachants de mon jardin secret...
(non, il en manque un....)
Ma citation du jour:
D'où vient que certains êtres, (...) nous font mettre plus de vie dans la vie? Nous donnent le goût d'exister sans mesure, en nous faisant souvenir que nous sommes nés pour tutoyer l'infini? (Alexandre Jardin, Le Zubial)
jeudi, janvier 06, 2005
Didier van Cauwelaert
Ma citation du jour:
Seuls les vrais solitaires, quand ils se rencontrent, peuvent s'aimer sans s'abîmer parce qu'ils n'ont pas besoin de se fuir, d'exercer un pouvoir sur l'autre ou de considérer la durée comme une fin en soi. (L'éducation d'une fée, Didier Van Cauwelaert, p.38, Albin Michel, 2000)
J'ai la poisse
Conclusion: je crois que je suis vaccinée par Ebay. Pour de bon.
mercredi, janvier 05, 2005
J'aime les personnages si touchants et les délires visuels et conceptuels d' Angels in America (déjà j'aime bien l'idée qu'il existe des anges quelque part autour de nous) (j'aime aussi les gens qui se battent pour la cause gay, sans être moi-même pour autant une militante dans l'âme, quelqu'en soit la cause d'ailleurs). Outre les talentueux Al Pacino, Meryl Streep, Emma Thompson et Mary-Louise Parker (géniale in "Boys on the Side"), j'ai beaucoup aimé 2 acteurs peu connus: Jeffrey Wright (que j'avais adoré dans "Basquiat") et Justin Kirk (très émouvant dans ce rôle).
Angels in America
L' histoire se déroule en 1985, durant l' ère Reagan, au moment où le sida commence à se développer de manière inquiétante, dans un contexte social et politique compliqué. Au centre d' une galerie de personnages emblématiques de la société américaine, deux hommes atteints du sida vivent leur maladie de manière différente. L' intervention d' un ange va bouleverser la vie de l' un d' eux... ANGELS IN AMERICA étudie la désintégration de deux couples, l' un homo, l' autre hétéro inextricablement liés à un troisième personnage qui incarne la malveillance conservatrice et l' hypocrisie sexuelle.
Signée par le réalisateur Mike Nichols, ANGELS IN AMERICA est l'adaptation télévisuelle de la célèbre pièce de Tony Kushner, THE PLAY. Al Pacino, Meryl Streep et Emma Thompson sont les têtes d'affiche de cette mini-série mêlant imaginaire et réalité. ANGELS IN AMERICA retrace l'impact du Sida sur un groupe de new-yorkers dans les années 80. Fort d'un budget de soixante millions d'euros et d'un casting éblouissant, ANGELS IN AMERICA est décrite par un journaliste du NEW YORK TIMES comme la plus puissante adaptation télévisuelle d'une pièce américaine depuis UN TRAMWAY NOMME DESIR d'Eliah Kazan.
"C’était trop ambitieux, trop malin, trop provocant" dit le producteur exécutif Cary Brokaw. Le côté provocant vient de la manière saisissante avec laquelle la mini-série dépeint l’horreur du sida, les marques physiques de la maladie et les souffrances des victimes. Les différents sujets sont explorés, comme le titre le suggère, par le biais de l’imagerie du surnaturel. Des séquences de rêves spirituels se déroulent dans des décors exotiques comme le Paradis ou l ’Antartique.
The Secret Life of Us
Jason, Richie, Will, Miranda, Gabrielle, Alex, Evan et Kelly, huit jeunes adultes de vingt ans et des poussières vivent tous dans la même résidence, dans la banlieue de Melbourne, en Australie. Ce sont les personnages d' une série qui a battu tous les records d' audience en Australie, lors de son lancement. Des personnages qui cherchent l'amour de leur vie, s'interrogent sur leurs ambitions professionnelles, et se posent évidemment mille questions existentielles. Au delà des histoires, des rires et des pleurs, ils savent que tous les chemins les ramèneront vers la seule chose sur laquelle ils peuvent compter : l' AMITIE.
Sans fausse pudeur ni tabou, NOS VIES SECRETES aborde tous les sujets et rend totalement accro. Moi, la première !
La 1ière saison de cette série est diffusée en ce moment sur Canal +, le mercredi à 14h.
dimanche, janvier 02, 2005
2004 en magie
20 Juin 2004: j'ai été voir (plutôt vivre) mon 1er opéra, Mme Butterfly, à la Halle aux Grains de Toulouse, avec Franck et papa. Choc des émotions, bouleversements des sens, images fortes plein la tête, mélodies magiques plein les oreilles. Ca vous remue les tripes, difficile à raconter: ça s'écoute, ça se voit, ça se vit. La musique vous pénetre vraiment, l'histoire vous absorbe, même pour une néophyte comme moi.
C'est depuis toujours l'opéra préféré de Franck, mon meilleur ami. Et si je rêvais de voir un jour un opéra "pour de vrai", c'était forcément celui-là, avec lui bien-entendu. 2004 a été l'année où j'ai pu éxaucer ce rêve (ça sera d'ailleurs le seul véritable moment fort que j'ai envie de garder de cette année). Merci la vie. Merci à toi...
Je viens de voir sur le site de Marco Berti (ce ténor italien à la voix sublime qui a incarné B. F. Pinkerton dans Mme Butterfly le jour où j'y étais) qu'il sera présent à Paris en 2006 pour une représentation de Butterfly... Pour ceux que ça intéresse de vivre ou revivre ça...
Personnages :
Madama Butterfly (Cio-Cio-San) (soprano) / Suzuki, serviteur de Cio-Cio-San (mezzo-soprano) / Kate Pinkerton, femme de Pinkerton (mezzo-soprano) / B. F. Pinkerton, lieutenant de l'U.S Navy (ténor) / Sharpless, consul des Etats-Unis à Nagasaki (baryton) / Goro, courtier d'agence matrimoniale ou médiateur japonais (ténor) / Prince Yamadori (baryton) / Le Bonze, oncle de Cio-Cio-San (basse) / Yakusidé (baryton) / Le commissaire impérial (basse) / Le registrateur officiel (chorus baryton)
Lieux : Nagasaki; aujourd'hui [env. 1900] 1ière création: Scala de Milan, le 17 février 1904
Résumé :
Acte 1. Pinkerton visite une maison à louer avec Goro et Sharpless, et déclare ne vouloir rester ici que le temps de connaitre les femmes de la région; il organise d'ailleurs une réception pour célébrer son mariage avec Cio-Cio-San, mais compte bien un jour sur un "vrai" mariage avec une Américaine. Mme Butterfly arrive, et dit à son futur qu'elle a pour lui abandonné sa famille et sa religion. Alors que Pinkerton cherche à faire sortir au plus vite de la famille de Butterfly, l'oncle de celle-ci fait irruption et dénonce la trahison de Butterfly. La famille se retire en la reniant, ce qui ne lui fait pas changer ses sentiments vis-à-vis de Pinkerton. Le couple se promet fidélité.
Acte 2. L'argent manque dans le couple alors que Pinkerton est parti en campagne. Butterfly se demande énervée quand il reviendra; elle n'écoute pas Sharpless qui veut lui lire une lettre de Pinkerton, où il confie qu'il ne souhaite pas la revoir lorsqu'il sera de retour à Nagasaki. Quand on annonce l'arrivée du bateau de Pinkerton, Butterfly saute de joie et prépare son retour.
Acte 3. Ce n'est que le lendemain matin que Pinkerton arrive, discrètement, avec sa nouvelle femme américaine. Il veut s'en aller rapidement et donne de l'argent à Sharpless pour Butterfly. Celle-ci cherche Pinkerton dans la maison, mais, alors qu'elle apercoit Kate, Suzuki lui avoue qu'il ne viendra pas la voir. Kate demande à Butterfly si elle peut emmener avec elle le fils de cette dernière; elle lui répond que Pinkerton, son père, devra venir le chercher. Seule, Butterfly se fait Hara-Kiri alors que son fils et Pinkerton entrent dans la pièce.
Il y a ces histoires qui nous bouleversent, ces vies anéanties par un mensonge. Madame Butterfly est de ces femmes bercées d'espérances et d'illusions, qui ont des élans de joie et des heures de mélancolie, qui pleurent et souffrent avec une amertume toute intérieure. Cet opéra, un des plus touchants et des plus aimés de Giacomo Puccini, évoque l’histoire romantique et tragique de la douce geisha, Cio-Cio-San, connue sous le nom de Madame Butterfly, qui sacrifie sa famille, son honneur et sa religion pour un lieutenant frivole de la marine américaine.
Madame Butterfly était l'opéra préféré de Puccini, "le plus sincère et le plus évocateur que j'ai jamais conçu". Ce drame psychologique fortement imprégné de la culture japonaise et qui fait place à l'intimisme et la profondeur des sentiments a connu un succès incontestable de par le monde.
samedi, janvier 01, 2005
*** BLOG ANNEE A TOUS ET A TOUTES ***
"Attrapez vos étoiles, qu'elles éclairent et (ré)chauffent vos nuits hivernales" Stanislas Eliots, a russian man in Paris.
Cette année je sèche complétement sur les voeux, l'inspiration me manque, la mélancolie me prend, je n'arrive à rien, le vide m'habite... Désolée pour tous ceux et celles qui "subiront" ce vide... Bonne Année quand même aux lecteurs de passage ! A vos blogs ! Prêts? Partez !