Une bouteille à la mer...
Il s’appelle Gérald, il est chauffeur/ambulancier en Martinique et on s’est croisé quelques temps (1 année ou 2)… Il était plutôt craquant, c’est vrai… J’ai rêvé de lui au petit matin. Comme il doit y avoir 1 chance sur 1 milliard pour qu’on se recroise un jour, ou bien pour qu’il tombe sur ce blog, je peux vous raconter mon petit rêve coquin : on était allongés, presque nus, tous les 2 sur lit et on se regardait… Je lui caressais son bras et j’étais bien, mes paupières étaient un peu lourdes, vous savez comme dans cette phase de bien-être juste avant que le sommeil vous tombe dessus. Puis j’ai senti quelques petites léchouilles très délicates sur des parties plus qu’intimes, plus qu’érogènes… et je vous le donne en mille…. me suis réveillée !!!
Bouh, pourquoi faut-il toujours qu’on se réveille au mauvais moment ? Quelqu’un connaît-il un moyen pour replonger à l’endroit même de son rêve où l’on vient d’être déconnecté ? Moi, je n’y arrive jamais, mais alors jamais…
Pourtant, un peu de sexe, ça ne fait de mal à personne, si (heu, façon de parler)? C’était si bon, si doux…
Pourquoi est-ce que je suis une confidente de cœur et jamais une confidente de cul (ou si peu) ? J’ai cette image de petite fille sage et réservée qui me colle à la peau depuis toujours et ça commence à me barber mais à un point…
Alors vous, chers lecteurs, voulez-vous me raconter en quelques lignes (sous un pseudo ou en tant qu’anonyme dans les commentaires, c’est vous qui voyez) votre plus belle, plus forte, plus orgasmique, féerique histoire de cul, celle-qu'y-a-pas-de-mots-pour-la-décrire (mais essayez quand-même ) please ? Bon, je jette une bouteille d’eau à la mer, l’attrapera qui voudra… On pourrait lancer la 1ière ( ?) chaîne bloguiènne d’histoires sexuelles, non ? (Ou bien la Sex Attitude ? Non, ça a trop une consonance Raffarino-loriènne… )
Après promis, si c’est un succès, je ferais mon coming-out-sexo-perso-à-moi-même (si on peut dire) en 2006 (scuse, non pas en l’an 2006 quand même, mais quand j’atteindrais le chiffre 2006 sur mon compteur de visiteurs/stats en bas à droite) Eh oui, qu’est-ce que vous croyez, j’ai eu le temps de gamberger grave après mon abrupt et frustrant réveil matinal moi…
...
(heu, j'étais sous ectasy quand j'ai écrit ça, ou quoi?)
Bouh, pourquoi faut-il toujours qu’on se réveille au mauvais moment ? Quelqu’un connaît-il un moyen pour replonger à l’endroit même de son rêve où l’on vient d’être déconnecté ? Moi, je n’y arrive jamais, mais alors jamais…
Pourtant, un peu de sexe, ça ne fait de mal à personne, si (heu, façon de parler)? C’était si bon, si doux…
Pourquoi est-ce que je suis une confidente de cœur et jamais une confidente de cul (ou si peu) ? J’ai cette image de petite fille sage et réservée qui me colle à la peau depuis toujours et ça commence à me barber mais à un point…
Alors vous, chers lecteurs, voulez-vous me raconter en quelques lignes (sous un pseudo ou en tant qu’anonyme dans les commentaires, c’est vous qui voyez) votre plus belle, plus forte, plus orgasmique, féerique histoire de cul, celle-qu'y-a-pas-de-mots-pour-la-décrire (mais essayez quand-même ) please ? Bon, je jette une bouteille d’eau à la mer, l’attrapera qui voudra… On pourrait lancer la 1ière ( ?) chaîne bloguiènne d’histoires sexuelles, non ? (Ou bien la Sex Attitude ? Non, ça a trop une consonance Raffarino-loriènne… )
Après promis, si c’est un succès, je ferais mon coming-out-sexo-perso-à-moi-même (si on peut dire) en 2006 (scuse, non pas en l’an 2006 quand même, mais quand j’atteindrais le chiffre 2006 sur mon compteur de visiteurs/stats en bas à droite) Eh oui, qu’est-ce que vous croyez, j’ai eu le temps de gamberger grave après mon abrupt et frustrant réveil matinal moi…
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(heu, j'étais sous ectasy quand j'ai écrit ça, ou quoi?)
4 commentaires:
L'idée est tentante, la difficulté principale pour moi étant d'écrire quelquechose qui ne sombre ni dans le mièvre, ni dans le porno, avec des mots justes, ni trop doux, ni trop crus. Je m'y mets...
Merci juju: j'espère que ça fera vite des émules...
Salut,
Tu prends des risques ! ! !
Allons-y pour Calaferte sur mon blog.
Louis Calaferte - Temps mort
Les corps se séparent.
Présence brusquement étrangère.
Répugnance à toucher.
A être touché.
Le rapprochement a creusé un vide hostile.
Excitation des nerfs.
Curiosité.
Audace.
Caresser.
Prendre un corps.
Echauffement des désirs.
Simulacre du meurtre.
Une haine lointaine.
Ne pas penser au possible dégoût.
Sexe noir.
Poils.
Maladive rosure.
Odeur intime.
Odeur forte.
Le pli de graisse.
Sueur.
Mots et halètements.
L'envie est déjà passée.
Accomplir le rituel.
La bouche ouverte.
Les dents.
La langue.
Salive.
Pointes des seins.
Cotonnade du ventre.
Sexe.
Poils.
Pénétrer.
Obtenir ce que seule obtient l'imagination.
Bourrelage de l'accouplement.
Humidités.
Sels.
Acides.
Corps harassés.
Ennemis.
Les draps chauds.
Prix de la chambre punaisé sur la porte.
Ternissure autour de la poignée.
Traces brunes.
Glace éraillée de l'armoire.
Le battant ferme mal.
Meuble vide.
Petite table de bois verni.
Meuble vide.
Les vêtements en désordre sur la moquette.
Chaussure béante.
Un soutien-gorge noir.
Une jupe claire.
Les vitres de la fenêtre sont sales.
Partir.
S'habiller.
Partir.
N'être plus cet incompréhensible accident.
Ramolli le sexe pend entre les cuisses.
Un après-midi d'enfance à la campagne.
Avec des fruits.
De gros raisins noirs.
A cheval sur des épaules d'homme.
Le corps glisse doucement du lit.
Vêtements épars ramassés en hâte.
Mouvement proche déjà si lointain.
Le sac à main.
La salle de bains.
Il faisait une chaleur éclatante.
Une petite fille riait.
L'eau dans le lavabo.
Enfiler un slip.
Des chaussettes.
Un pantalon.
Une chemise.
Le veston est sur le dos d'une chaise.
La petite fille blonde avait un prénom très doux.
Musical.
Un prénom blond.
Temps mort - Louis Calaferte
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